En dix ou quinze jours, il est impossible de faire un voyage ethnographique, mais l’Afrique est encore peuplée d’une multitude d’ethnies qui vivent de façon traditionnelle et que nous sommes amenées à rencontrer au cours des divers circuits.
L’approche et le respect de l’autre est primordial quant à la qualité de la rencontre. Croiser un Masai, un Hazabé, ou un Himba au détour d’un chemin ou d’une piste, est un instant privilégié, unique, qu’il ne faudrait pas briser par un manque élémentaire de savoir-vivre.
Reléguons notre instinct d’ « homophotosapiens » et laissons la magie opérer.